Les poèmes de janvier viennent tout doucement. Commencent-ils dans les rues de minuit, dans les champs de trois heures du matin ou sont-ils toujours avec nous, sous la peau de l’imagination, respirant et soufflant comme les ours endormis? Osiris voudrait les lire, ces créations de janvier, ces créations qui glissent de l’ordinaire vers l’utopie de nos rêves les plus profonds.
